suivant
technicienne
Les métiers techniques de la culture sont pour les femmes parfois inaccessibles, souvent dans l’ombre, et dits masculins.
Les chiffres parlent d’eux-mêmes. En 2023, encore seulement 22 % de femmes régisseuses pour 78% d’hommes, 21% d’ingénieures du son pour 79% d’hommes, 31% de créatrices lumières pour 69% d’hommes*…
Régisseuses, scénographes, créatrices son et lumière, restauratrices d’œuvres, cheffes opératrices, camerawomen, machinistes, monteuses et autres techniciennes de la culture sont pourant bel et bien là. Elles sont parfois encore aux études, d’autres stagiraires, à la recherche d’un emploi ou au travail. Elle s’affairent dans les coulisses, pendant les montages d’expositions, durant les tournages pour donner vie aux créations artistiques qui nous font voyager ailleurs.
Ce sont autant de parcours, autant d’histoires, autant de femmes qui méritent d’être racontées pour en inspirer d’autres.
* Source : le rapport de la Deuxième Scène dirigé par La Chaufferie-Acte1 et la Compagnie Écarlate.
Comment visibiliser la place des femmes et minorités de genre dans les métiers techniques de la culture ?
Face à ce constat, le projet “Technicienne” s’est développé autour de trois pôles avec un objectif commun : réduire les discriminations sur base du genre dans l’accès et l’exercice de ces métiers.
Un premier pôle vise d’abord à créer une communauté et un espace d’échange libre et sécurisé.
Un deuxième pôle vise ensuite à visibiliser ces femmes en favorisant la mise en réseau professionnel dans un secteur qui fonctionne principalement par cooptation.
Enfin, un troisième pôle amène cette fois-ci un public scolaire à la découverte de ces métiers avec des représentations féminines afin d’inciter de nouvelles vocations.
Nous esperons que ce travail de terrain et de sensibilisation puisse éveiller les esprits à cette problématique, augmenter le nombre de femmes techniciennes dans le secteur culturel et d’améliorer les conditions dans lesquelles ces métiers s’exercent.
Face à ce constat, le projet “Technicienne” s’est développé autour de trois pôles avec un objectif commun : réduire les discriminations sur base du genre dans l’accès et l’exercice de ces métiers.
Un premier pôle vise d’abord à créer une communauté et un espace d’échange libre et sécurisé.
Un deuxième pôle vise ensuite à visibiliser ces femmes en favorisant la mise en réseau professionnel dans un secteur qui fonctionne principalement par cooptation.
Enfin, un troisième pôle amène cette fois-ci un public scolaire à la découverte de ces métiers avec des représentations féminines afin d’inciter de nouvelles vocations.
Nous esperons que ce travail de terrain et de sensibilisation puisse éveiller les esprits à cette problématique, augmenter le nombre de femmes techniciennes dans le secteur culturel et d’améliorer les conditions dans lesquelles ces métiers s’exercent.
Les métiers techniques de la culture sont pour les femmes parfois inaccessibles, souvent dans l’ombre, et dits masculins.
Les chiffres parlent d’eux-mêmes. En 2023, encore seulement 22 % de femmes régisseuses pour 78% d’hommes, 21% d’ingénieures du son pour 79% d’hommes, 31% de créatrices lumières pour 69% d’hommes*…
Régisseuses, scénographes, créatrices son et lumière, restauratrices d’œuvres, cheffes opératrices, camerawomen, machinistes, monteuses et autres techniciennes de la culture sont pourant bel et bien là. Elles sont parfois encore aux études, d’autres stagiraires, à la recherche d’un emploi ou au travail. Elle s’affairent dans les coulisses, pendant les montages d’expositions, durant les tournages pour donner vie aux créations artistiques qui nous font voyager ailleurs.
Ce sont autant de parcours, autant d’histoires, autant de femmes qui méritent d’être racontées pour en inspirer d’autres.
* Source : le rapport de la Deuxième Scène dirigé par La Chaufferie-Acte1 et la Compagnie Écarlate.
Comment visibiliser la place des femmes et minorités de genre dans les métiers techniques de la culture ?