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liquidation totale
Liquidation totale est la toute première exposition présentée dans le lieu d’experimentation culturelle FACE B Sablon.
Plongé dans un rez-de-chaussée commercial, au cœur d’un quartier touristique de Bruxelles, vide depuis de nombreuses années, nous voulions nous interroger sur les outils et stratégies de vente.
Les artistes réunis dans cette exposition nous livrent chacun·e, à leur manière, une représentation du commerce et des techniques de vente. Que ce soit pour vendre des vêtements, des meubles, des œuvres d’arts ou soi-même, tous·tes portent un regard personnel et critique sur les moyens subtils et détournés mis en place pour séduire et créer l’illusion d’un besoin éphémère.
C’est donc une histoire simple.
Celle d’un espace vide dans lequel autrefois des cigares puis des livres d’art étaient vendus.
Celle d’un espace vide qui se remplit d’objets qui font naître des désirs et rapidement des besoins.
Et puis, il y a nous, consommateur·ice·s et commerciaux·ales de nos propres vies.
- Bjornus Vanderborght, Curator Machine.
- Joséphine Jadot, Gros bijoux de luxe.
- Mous Lamrabat, Untitled.
- Pauline François, On dirait que le bonheur est à nos trousses.
- Sara Zerguine, Dernier cri et Wallpaper.
- Xavier Duffaut, Faire TA(S)CHE et gateau.jpg.
- Bjornus Vanderborght, Curator Machine.
- Joséphine Jadot, Gros bijoux de luxe.
- Mous Lamrabat, Untitled.
- Pauline François, On dirait que le bonheur est à nos trousses.
- Sara Zerguine, Dernier cri et Wallpaper.
- Xavier Duffaut, Faire TA(S)CHE et gateau.jpg.
Liquidation totale est la toute première exposition présentée dans le lieu d’experimentation culturelle FACE B Sablon.
Plongé dans un rez-de-chaussée commercial, au cœur d’un quartier touristique de Bruxelles, vide depuis de nombreuses années, nous voulions nous interroger sur les outils et stratégies de vente.
Les artistes réunis dans cette exposition nous livrent chacun·e, à leur manière, une représentation du commerce et des techniques de vente. Que ce soit pour vendre des vêtements, des meubles, des œuvres d’arts ou soi-même, tous·tes portent un regard personnel et critique sur les moyens subtils et détournés mis en place pour séduire et créer l’illusion d’un besoin éphémère.
C’est donc une histoire simple.
Celle d’un espace vide dans lequel autrefois des cigares puis des livres d’art étaient vendus.
Celle d’un espace vide qui se remplit d’objets qui font naître des désirs et rapidement des besoins.
Et puis, il y a nous, consommateur·ice·s et commerciaux·ales de nos propres vies.